France
Paris
Sophie Bachelier s’intéresse aux destins singuliers bouleversés par l’histoire collective. Les films qu’elle fabrique génèrent de l’évènement et du possible avec celles et ceux qu’elle filme, puis avec les spectateurs. C’est un cinéma qui s’écrit en expérimentant. Tilo Koto – dernier film d’une trilogie sur l’émigration -, n’aurait jamais existé sans des expériences préalables vécues sur trois territoires différents : l’Afrique, l’ethnologie et l’image. Chacun des films de la trilogie dit l’émigration d’un point de vue particulier : du point de vue de celles qui restent au pays, Mbëkk mi, 2012, de ceux qui sont bloqués en chemin, Choucha, 2016, et de ceux qui rentrent au pays, Tilo Koto, 2019.
Ouvrages publiés
Mbëkk mi, le souffle de l’océan
Choucha, une insondable indifférence
Tilo Koto